Celui qui parle ignore que celui qui écoute est malin. |
Il n'y a pas d'hommes incapables, il n'y a que des paresseux. |
La femme mariée à un paresseux n'a pas de mari. |
Un ami vaut mieux qu'un frère de même mère. |
Le cheval soigné par deux palefreniers meurt de faim. |
La parole de la famille, c'est la famille qui l'écoute (problèmes familiaux). |
La bouche de la femme est son carquois. |
Le pardon, la tolérance et la sagesse sont le langage des hommes forts. |
L'homme rit, ses dents sont blanches, mais sous les dents se cache le sang. |
La bouche d'une femme est légère. |
Aime la femme que tu as choisie dans ta jeunesse, et rends la heureuse. |
Ta femme est pour toi seul, ne la partage jamais avec des étrangers. |
L'homme qui aime sa femme au milieu des autres s'aime lui-même. |
Une épouse vertueuse fait la fierté de son mari, une femme indigne est un cancer qui le ronge. |
L'homme doit être sincère et aimer sa femme, comme Dieu nous aime. |
La pintade sans poussins n'est rien que plumes brillantes. |
Si tu veux péter comme un âne, ton derrière se déchirera. |
Même si tu n'aimes pas le lièvre, reconnais au moins qu'il court vite. |
Si dans un village étranger tu trouves des gens marchant la tête en bas, marche la tête en bas. |
La parole est une coque que le rusé décortique. |
Un enfant qui aime la culture et l'élevage, voilà un enfant parfait. |
La barbe d'emprunt ne surpasse pas la véritable. |
Ce qui est difficile est bon, le facile n'a pas de profit. |
Un hypocrite a toujours quelque chose à cacher. |
Ne t'occupe pas de l'enfant d'un vaurien, c'est aussi un vaurien. |
Si vous mangez en compagnie d'un visiteur, ne le critiquez pas, il mange en tant que passager. |
Où il n'y a pas ta mère, tu ne peux pas réclamer le dos du poulet. |
La vache qui aime son petit toujours le lèche, même quand il a grandi. |
Si l'échange ressemble à un don, que chacun garde son bien. |
Si la perdrix s'envole, son enfant ne reste pas à terre. |
Que chacun se gratte là où il a été piqué. |
Que vous soyez riches ou pauvres, il faut que les hommes meurent. |
Qui n'a pas envie de donner, donne de la main gauche. |
On ne laisse pas le haricot se refroidir avant de mettre du beurre. |
Poser le plat pour qu'il refroidisse, c'est attendre celui qui va le manger. |
Dans la tanière du lion aveugle, il y a toujours un os à ronger. |
Si quelqu'un fait un saut dans le feu, il lui reste encore un autre saut à faire. |
L'ânesse met bas pour que son dos se repose. |
Ajouter une couche de terre sur un mur ne le fera pas s'écrouler. |
Si le mensonge suit le chemin, la vérité bifurquera dans les herbes. |
La femme qui accouche a un pied dans ce monde, et l'autre dans le monde des morts. |
L'habitude ne quitte jamais celui qui en est atteint. |
Le champ de la femme du polygame se délimite la nuit. |
Si un veau aveugle entre dans le champ, au lieu de crier sur lui, tire-le par l'oreille. |
Que chacun apprenne à porter son fardeau tête nue, car dans certains lieux, il n'y a pas de chiffons. |
La parole est comme l'eau du marigot. |
L'abus de la force use la force, l'abus du pouvoir use le pouvoir. |
Dire que savoir parler n'a pas d'importance, c'est contenter la mère du muet pour qu'elle puisse dormir. |
Si on aide une femme à cultiver son champ, elle saura dire, le moment venu, que le grenier est à elle. |
Si l'on n'a pas visité deux marchés, on ne peut savoir lequel est le meilleur. |