Les larmes qui coulent sont amères, mais plus amères sont celles qui ne coulent pas. |
Si le monde n'avait pas le soupir, il étoufferait. |
Le pauvre homme n'a que deux amis : sa pomme de terre et son cochon. |
La vie n'est qu'un badinage, une épigramme dont la mort est la pointe. |
Un mauvais nuage est toujours doublé d'argent. |
Qui touche à mes enfants, comptera le reste de ses dents. |
La raison vient avec l'âge. |
La mouette est fort criarde, mais la femme la dépasse. |
Du soulier au chapeau, bien des hommes se cachent. |
Les gens se rencontrent, mais non pas les collines. |
Les propos d'un sot rentrent par une oreille, et sortent par l'autre. |
Il n'y a point de femmes plus habituées aux mauvaises chaussures que la femme du cordonnier. |
Regarde un hypocrite droit dans les yeux, il contemplera tes souliers. |
La vérité se trouve au fond d'une bouteille, qui a bu parlera. |
Une personne bien nourrie ne comprend pas l'affamé. |
Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. |
Bien fou est celui qui se laisse séparer de son argent. |
Un bon mot n'a jamais cassé une dent. |
Les gros poissons se nourrissent de petits poissons. |
Dans l'union réside la force. |
Qui a la bourse vide peut siffler le voleur. |
Ne vous fiez point aux habits qu'un homme porte. |
À chaque vache son veau, à chaque livre sa copie. |
Qui veut vaincre ne menace point avant de frapper. |
Trois espèces d'hommes n'entendent rien aux femmes : les jeunes, les vieux, et ceux entre les deux. |
Le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde. |
Mieux vaut se disputer que rester seuls. |
Ayons confiance en Dieu, mais tenons notre poudre sèche ! |
Dieu donna la maladie à la pomme de terre, l'Angleterre donna la famine à l'Irlande. |
D'abord on boit, et après on discute. |
On peut amener un cheval à l'abreuvoir mais on ne peut pas le forcer à boire. |
Une bouche silencieuse jamais ne fait de mal. |
Si vous mettez un Irlandais à la broche, vous trouverez toujours un autre Irlandais pour l'arroser. |
L'Anglais pense assis, le Français debout, l'Américain en marchant, l'Irlandais à retardement. |
Un irlandais à genoux vaut quatre anglais debout. |
Méfiez-vous d'un Anglais : il est aux aguets pour vous tromper. |
Qui cherche la mer doit suivre les mouettes. |
Ici aujourd'hui, puis s'en aller demain. |
Le papier ne refuse jamais l'encre. |
Donnez à un gredin une corde assez longue, et vous pouvez être sûr qu'il se pendra. |
Une lourde bourse fait un cœur léger. |
Les difficultés de l'Angleterre sont la chance de l'Irlande. |
La vie ne nous distribue pas les meilleurs cartes, mais l'important est de jouer de son mieux. |
Une brebis infectée suffit pour gâter tout le troupeau. |
Le sang des proches n'est pas de l'eau. |
Les proverbes sont l'écho de l'expérience. |
La meilleure politique c'est la vertu. |
Bonne compagnie abrège le chemin. |
Tout ce qui entre dans la bourse n'est pas gain. |
La moitié du monde ignore la façon de vivre de l'autre moitié. |