La mandarine a fait la faute, et c'est l'orange qui doit payer. |
L'homme vulgaire s'entête même avec un coup de maillet sur le crâne. |
Méfie-toi de l'argent qui pèse plus lourd que l'homme ! |
La vraie source du bonheur est en son cœur. |
La loi n'a pas d'égards pour les parents ou amis. |
Il faut endurer avec courage les rigueurs du temps. |
Pas de richesses hors du commerce. |
Là où naît l'intérêt, la sincérité se tait. |
Le lettré précède le paysan, mais que le riz vienne à manquer, et c'est le paysan qui précède le lettré. |
Tout travail minutieux demande du temps. |
Travailler vaut mieux que rester sans rien faire. |
Ta maison est ta maison si tu en es le maître. |
Ne te laisse point éblouir par les paroles d'autrui, attends de voir ses actes. |
Le temps est ce que tu en fais. |
Sans vouloir paraître, on est quelqu'un quand on est soi-même. |
Qui n'aime que la beauté doit en supporter la souffrance. |
Choisis le voisin avant la maison. |
Ne se marient ensemble que ceux qui se ressemblent. |
La victoire ou la défaite dépendent de ceux qui commandent, et non pas de ceux qui exécutent. |
Ne cueille pas la fleur d'un jour pour gâcher à jamais l'amour de toute une vie. |
Les héritiers qui ont grandi dans la richesse ne savent forger leur volonté. |
Ne te noie pas dans le passé, nul ne peut le changer. |
On ne peut concevoir une femme sans mari, ni un homme sans épouse. |
Qui agit au-delà de ses forces court inévitablement à l'échec. |
Une seule colonne ne saurait supporter tout un édifice qui menace de s'écrouler. |